07/10/2017 – 24/06/2018
Des machines au service du peuple.
Godin et la mécanique
Œuvres exposées
François-Ignace Bonhommé, Vue intérieure des forges d’Abainville (Meuse),1839. Crédit photographique : collection particulière, avec l’aimable autorisation de la galerie Talabardon et Gautier, Paris / Guillaume Benoît.
Vue intérieure des forges d’Abainville (Meuse) : train de laminoirs à rails et à fers marchands.
François-Ignace Bonhommé (1809-1881).
1839.
Signé en bas à droite : « FBonhommé 1839 ».
Huile sur toile.
H. 53 x L. 156 cm
Collection particulière.
Le prêt de l’œuvre a bénéficié de l’aimable concours de la galerie Talabardon et Gautier, Paris.
Œuvre exposée du 7 octobre au 18 décembre 2017.
Crédit photographique : collection particulière, avec l’aimable autorisation de la galerie Talabardon et Gautier, Paris / Guillaume Benoît.
Ce tableau a appartenu jusqu’en 2016 à une famille de descendants de maîtres de forges. Il n’a pas été présenté au public depuis 1855.
Il figure la « nouvelle forge » des forges d’Abainville, dans la vallée de l’Ornain, dans la Meuse. Édouard Muel-Doublat, le propriétaire depuis 1819, la transforme en « forge à l’anglaise ». Il remplace les foyers d’affinerie par des fours à puddler et le gros marteau par des laminoirs. En 1834, Édouard Muel-Doublat fait appel à l’ingénieur Eugène Flachat. Celui-ci installe une première machine à vapeur de 40 chevaux puis une seconde de 100 chevaux en 1837.
François Bonhommé arrive à Abainville en 1837. Les nombreux dessins qu’il exécute constituent un véritable reportage sur les forges. Il trouve dans cette « documentation » la matière de deux tableaux. L’un, Tôlerie des forges d’Abainville, est présenté au Salon de 1838 ; l’autre, Vue intérieure des Forges d’Abainville (Meuse) : train de laminoirs à rails et à fers marchands, daté de 1839, est présenté au Salon de 1840.
Maquette du pianotype de James Young et Adrien Delcambre, vers 1862. Paris, musée des Arts et Métiers – CNAM (inv. 07137-0000-). Crédit : © musée des Arts et Métiers – CNAM / phot. Pascal Faligot .
Maquette du pianotype ou machine à composer les caractères typographiques d’imprimerie de James Young et Adrien Delcambre (modèle au 1/6e).
Constructeur anonyme.
Vers 1862.
Bois, cuivre, ivoire, alliage ferreux, laiton.
H. 48 x L. 38 x P. 38 cm ; 1, 94 kg.
Historique : Exposition universelle de Londres en 1862.
Paris, musée des Arts et Métiers – CNAM (inv. 07137-0000-).
Crédit photographique : © musée des Arts et Métiers – CNAM / phot. Pascal Faligot (http://www.arts-et-métiers.net/).
Le pianotype permet de réaliser mécaniquement la composition typographique. À chaque touche du clavier correspond un « magasin » dans lequel est stocké un type de caractères mobiles. Par pression sur le clavier, ils viennent automatiquement se placer pour former des lignes. La justification se réalise ensuite manuellement. À ce pianotype compositeur est associée une machine à distribuer afin de remettre en place les caractères après utilisation.
L’appareil est mis au point par James Young, homme d’affaires écossais, et Adrien Delcambre, industriel lillois, avec l’aide d’Henry Bessemer, métallurgiste anglais. Breveté à Londres en 1840, le pianotype est importé en France la même année par Arthur Young, frère de James. Les frères Young sont proches des milieux fouriéristes de Londres et de Paris. Le pianotype sert ainsi à composer le 6e volume des Œuvres complètes de Charles Fourier paru à la Librairie sociétaire en 1845, et il est célébré par les réformateurs comme un emblème du lien entre progrès technique, progrès social et progrès intellectuel. Mais les ouvriers typographes s’opposent à la mécanisation de la composition susceptible de féminiser le travail.
Cette maquette a été présentée par Isidore Delcambre, fils d’Adrien, à l’Exposition universelle de Londres en 1862. On se plait à penser que Jean-Baptiste André Godin l’étudie à cette occasion.
Crédit photographique : © écomusée de la Communauté urbaine Le Creusot-Montceau, dépôt de l’Académie François Bourdon, cliché D. Busseuil.
Coulée de fonte au Creusot.
François-Ignace Bonhommé (1809-1831).
Vers 1864.
Huile sur toile.
H. 125 x L. 220 cm.
Écomusée de la communauté urbaine le Creusot Montceau (inv. D 75.1.96), dépôt de l’Académie François Bourdon.
Œuvre exposée du 19 décembre 2017 au 24 juin 2018.
Crédit photographique : © écomusée de la Communauté urbaine Le Creusot-Montceau, dépôt de l’Académie François Bourdon, cliché D. Busseuil.
Crédit photographique : © M. Thierry, ministère de la Culture et de la Communication – DRAC de Bourgogne – SRI, 2000 © Service patrimoine et inventaire, Région Bourgogne-Franche-Comté.
Maquette de démonstration d’une machine à vapeur à piston et à balancier munie d'un régulateur à boules.
Constructeur anonyme.
Fin XIXe s. / début XXe s.
Chêne, laiton, acier.
H. 68 x L. 90 x P. 30 cm.
Classé aux monuments historiques le 24 août 2004.
Dijon, Lycée Carnot.
Crédit photographique : © M. Thierry, ministère de la Culture et de la Communication – DRAC de Bourgogne – SRI, 2000 © Service patrimoine et inventaire, Région Bourgogne-Franche-Comté.
Modèle de machine à vapeur Farcot type Corliss (échelle 1/10).
J. Digeon, constructeur à Paris, Jourdan, officier mécanicien de la Marine, d’après Marie-Joseph-Denis Farcot (1799-1875) et George Henry Corliss (1817-1888), ingénieurs.
1870-1890.
Acier, bois, cuivre, fer, fonte, laiton.
H. 55 x L. 45,5 x P. 100 cm ; 56 kg.
Paris, musée des Arts et Métiers – CNAM (inv. 11799-0000-).
Modèle de chaudière à vapeur avec coupes et arrachements (échelle 1/20).
Eugène Bourdon (1806-1884), ingénieur constructeur à Paris, Société centrale de construction de machines Weyher & Richemond à Pantin (Seine).
1884.
Inscrit à la peinture sur la façade : « Société central / Weyher & Richemond / Pantin Seine ».
Bois, cuivre, alliage ferreux, fonte, verre.
H. 100 x L. 111 x L. 38 cm ; 129 kg.
Paris, musée des Arts et Métiers – CNAM (inv. 10409-0000-).
Crédit photographique : Académie François Bourdon.
Les usines du Creusot en 1855.
Lithographie d’Eugène Cicéri et François Bonhommé d’après une aquarelle de François Bonhommé, Imprimerie Lemercier à Paris.
1855.
Lettre de l’estampe : Peint par F. BONHOMMÉ. Imp. Lemercier, Paris. Lith. par EUG. CICÉRI et F. BONHOMMÉ./LE CREUSOT/Goupil et Cie.
Lithographie.
H. 31 x 101 cm.
Le Creusot, Académie François Bourdon (inv. 2017.00.050).
Crédit photographique : Académie François Bourdon.
Crédit photographique : © musée Gallé-Juillet – Ville de Creil.
Assiette ornée d’une vue de l’église de La Madeleine à Paris.
Lebeuf Milliet & Cie à Creil et Montereau.
1844-1849.
Inscription sur l’avers : « LA MADELEINE / 6 », marque au revers : « LEBEUF MILLIET & CIE / MÉDAILLES D'OR / 1834, 39 ET 44 / PORCELAINE OPAQUE / CREIL ET MONTEREAU ».
Porcelaine.
H. 2,5 x D. 21,2 cm.
Creil, musée Gallé-Juillet (inv. 2010.2.27).
Crédit photographique : © musée Gallé-Juillet – Ville de Creil.
Quatre assiettes historiées : série Les Grandes découvertes.
N° 1 (Voilà ce qui a supprimé les distances).
N° 2 (Voilà la mort des voiliers).
N° 8 (On croirait que c'est vrai).
N° 12 (C'est la conquête de l'air par l'aviation).
Chez Bontillont.
Début du XXe.
Porcelaine.
D. 17 cm.
Collection Michel Jeannin.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Machine à vapeur n° 8 de l'usine du Familistère de Guise.
De Jongh Frères.
1899.
Épreuve photographique sur papier albuminé.
H. 17 x L. 23 cm
Familistère de Guise (inv. 1976-1-510).
Œuvre exposée du 7 octobre au 21 janvier 2018.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Machine à vapeur n° 8 de l'usine du Familistère de Guise.
De Jongh Frères.
1899.
Aristotype.
H. 18,8 x L. 23,7 cm.
Familistère de Guise (inv. 2000-1-202).
Œuvre exposée du 23 janvier au 8 avril 2018.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Diplôme de la fête du Travail du Familistère remis le 1er juin 1873 par Jean-Baptiste André Godin à Honoré Fauconnier, mouleur.
Imprimerie Berthaut, lithographe ; Fonderies et Manufactures Godin-Lemaire, éditeur.
1873 (modèle de 1867).
Lithographie ; manuscrit.
H. 24 x L. 30 cm.
Familistère de Guise (inv. 1999-3-40).
Œuvre exposée du 7 octobre 2017 au 21 janvier 2018.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Diplôme de la fête du Travail du Familistère remis le 1er juin 1873 par Godin à Eugène Blondelle, mouleur.
Imprimerie Berthaut, lithographe ; Fonderies et Manufactures Godin-Lemaire, éditeur.
1873 (modèle de 1867).
Lithographie ; manuscrit.
H. 24 x L. 30 cm
Familistère de Guise (inv. 1999-3-44).
Œuvre exposée du 23 janvier au 8 avril 2018.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Diplôme de la fête du Travail du Familistère remis le 1er juin 1873 par Godin à Champennois, ouvrier de fonderie.
Imprimé et manuscrit, 1er juin 1873.
Imprimerie Berthaut, lithographe ; Fonderies et Manufactures Godin-Lemaire, éditeur.
1873 (modèle de 1867).
Lithographie ; manuscrit.
H. 24 x L. 30 cm
Familistère de Guise (inv. 1999-3-45).
Œuvre exposée du 9 avril au 24 juin 2018.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Crédit photographique : La Colonie à Condé-sur-Vesgre.
Vue d’un phalanstère, village français, d'après la théorie sociétaire de Charles Fourier.
Lithographie de Prodhomme d’après un dessin de Charles Daubigny (1817-1878) ;
Henri Fugère, éditeur à Paris.
1847.
Lithographie.
H. 30 x L. 44,5 cm (trait carré)
Condé-sur-Vesgre, La Colonie.
Œuvre exposée du 7 octobre 2017 au 11 février 2018.
Crédit photographique : La Colonie à Condé-sur-Vesgre.
Crédit photographique : La Colonie à Condé-sur-Vesgre.
Vue d’un phalanstère, village français, d'après la théorie sociétaire de Charles Fourier.
Lithographie de Prodhomme d’après un dessin de Charles Daubigny (1817-1878) ;
Henri Fugère, éditeur à Paris.
1847.
Lithographie.
H. 30 x L. 44,5 cm (trait carré)
Condé-sur-Vesgre, La Colonie.
Œuvre exposée du 13 février 2018 au 24 juin 2018.
Crédit photographique : La Colonie à Condé-sur-Vesgre.
Le Producteur, journal de l’industrie, des sciences et des beaux-arts.
Paris, Sautelet et Cie.
1825-1826.
Imprimé.
Familistère de Guise, dépôt du conseil départemental de l’Aisne (n°202).
Voyage en Icarie (5e édition).
Étienne Cabet.
Paris, Au bureau du Populaire.
1848.
Imprimé.
Familistère de Guise, dépôt du conseil départemental de l’Aisne (n° 431).
Crédit photographique : Familistère de Guise.
La réforme industrielle ou le Phalanstère, journal des intérêts généraux, de l’industrie et de la propriété, t. I.
Paris, Le Phalanstère.
1er juin 1832 – 27 décembre 1832.
Imprimé.
Familistère de Guise, dépôt du conseil départemental de l’Aisne (n° 23).
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Les merveilles de la science ou description populaire des inventions modernes.
Louis Figuier (1819-1894).
Paris, Librairie Furne, Jouvet et Cie.
1867-1870.
Imprimé.
Familistère de Guise, bibliothèque.
Le Magasin pittoresque.
Sous la direction d’Édouard Charton (1807-1890).
Paris, Le Magasin pittoresque.
1833-1902.
Imprimé.
Familistère de Guise, bibliothèque.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Économie sociale. Des intérêts du commerce et de l'industrie et de l'agriculture, et de la civilisation en général sous l'influence des applications de la vapeur. Machines fixes - Chemin de fer - Bateaux à vapeur, etc.
Constantin Pecqueur (1801-1887).
Paris, Desessart.
1839.
Imprimé.
Familistère de Guise, dépôt du conseil départemental de l’Aisne (n° 64).
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Crédit photographique : © écomusée de la Communauté urbaine Le Creusot-Montceau, dépôt de l’Académie François Bourdon, cliché D. Busseuil
Forgeage au marteau-pilon dans les ateliers d’Indret de l’arbre coudé d’une frégate à hélice de 600 chevaux.
François-Ignace Bonhommé (1809-1881).
Vers 1865.
Huile sur toile.
H. 125 x L. 220 cm.
Écomusée de la communauté urbaine le Creusot Montceau (inv. D75.1.95), dépôt de l’Académie François Bourdon.
Crédit photographique : © écomusée de la Communauté urbaine Le Creusot-Montceau, dépôt de l’Académie François Bourdon, cliché D. Busseuil
Crédit photographique : Académie François Bourdon.
Maquette d’un marteau-pilon.
Constructeur anonyme (élèves des écoles Schneider au Creusot ?).
Deuxième moitié du XIXe s.
Métal, bois.
H. 60,5 x P. 50 x L. 40 cm ; 6 kg.
Le Creusot, Académie François Bourdon (inv. 2006.00.127).
Crédit photographique : Académie François Bourdon.
Crédit photographique : Académie François Bourdon.
Catalogue des marteaux à vapeur des usines du Creusot Schneider & Cie.
Imprimerie lithographique A. Temporal au Creusot.
1878.
Imprimé.
H. 26,2 x L.20,3 cm.
Le Creusot, Académie François Bourdon (inv. 0064Z0993-01).
Crédit photographique : Académie François Bourdon.
Appareil moteur des navires Minautor et Northumberland de la marine anglaise (modèle au 1/12).
Penn John and Sons, Greenwich, auteur intellectuel et matériel.
Vers 1867.
Inscription : « Model of the engines of 1350 H.P. as made by John, Peen and Son Greenwich for HMS "Minautor" and "Northumberland” ».
Bois, cuivre, laiton.
H. 40 x L. 100 x P. 110 cm ; 226 kg.
Paris, musée des Arts et Métiers – CNAM (inv. 07944-0000-).
Crédit photographique : Académie François Bourdon.
Maquette d’une machine à vapeur horizontale de marine, machine motrice du contre-torpilleur Le Wattignies, livrée à la Marine nationale en 1889 par les usines Schneider et Cie au Creusot (échelle 1/10).
Constructeur anonyme (apprentis de l’école professionnelle Schneider et Cie du Creusot ?).
Vers 1889.
Inscription : « Schneider et Cie / Usine du Creusot / Machine motrice du « Wattignies » / Échelle 1/10e ».
Bois, métal.
H. 30 x L. 51 x P. 49 cm.
Le Creusot, Académie François Bourdon (inv. 2006.00.143).
Crédit photographique : Académie François Bourdon.
Crédit photographique : Académie François Bourdon.
Atlas des ateliers de construction mécanique pour la marine des usines Schneider & Cie au Creusot : appareils construits entre 1840 et 1878.
Lithographie A. Temporal au Creusot.
1878.
Lithographie.
H. 71 x L. 53, 5 cm (fermé)
Le Creusot, Académie François Bourdon (inv. 0064Z3663).
Crédit photographique : Académie François Bourdon.
Crédit photographique : musée Gallé-Juillet – Ville de Creil.
Le bateau à vapeur Le Ville de Compiègne remontant l’Oise à Creil.
Peintre anonyme.
Vers 1825.
Huile sur toile.
H. 47 x L. 56 cm.
Creil, musée Gallé-Juillet (inv. 2017.0.1).
Crédit photographique : musée Gallé-Juillet – Ville de Creil.
Chemin de fer forain à vapeur dit « Petit Train de Remilly », Attribué à Ernest Michaux, avant 1879. Marseille, MuCEM (inv. 2000.15.1). Crédit photographique : Familistère de Guise, 2017.
Chemin de fer forain à vapeur dit « Petit Train de Remilly ».
Attribué à Ernest Michaux (1844-1882).
Avant 1879.
Métal peint, verre, cuivre, bois, acier.
Locomotive : H. 232 x L. 248 x P. 120 cm ; 1 290 kg.
Marseille, MuCEM – musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (inv. 2000.15.1.1.1 (locomotive), inv. 2000.1.1.2 (tender), 2000.15.1.2 (wagon), inv. 2000.15.43.1, 2000.15.43.2, 2000.15.43.3 (rails).
Crédit photographique : Familistère de Guise, 2017.
En mai 1865, est présenté à la fête des Loges de Saint-Germain-en-Laye le premier chemin de fer à vapeur forain en France, construit par Ernest Michaux, co-inventeur en 1861 du vélocipède à pédale. C’est un de ces manèges à sensation que recherchent alors les forains pour remplacer les traditionnels carrousels. Les nouvelles attractions traduisent sur une mode merveilleux et divertissant les progrès technologiques et scientifiques de la société industrielle. Dans la seconde moitié du XIXe siècle, comme les expositions universelles, la fête foraine popularise les innovations.
Le Petit Train de Remilly (exploité par Laurent Remilly de 1936 à 1967) est construit sur le modèle du manège de 1865. Son existence est attestée en 1879, puis en 1883 aux foires de Saint Cloud et de Neuilly, et en 1884 à Orléans. « Cet établissement complètement nouveau fonctionne en France et à l’étranger avec succès », déclare l’exploitant le 1er juin 1884, et « se compose d’une mignonne locomotive traînant à sa remorque six petits wagons de douze places chacun, le tout entouré d’une élégante grille de 1 m de hauteur ». Le train circule sur un circuit de 20 mètres de diamètre. L’attraction, dotée d’un grand orgue forain en 1893, est exploitée dans les foires de Paris et de la région parisienne, à la foire du Trône notamment. Le train a été électrifié en 1947 sans empêcher toutefois le fonctionnement de la machine à la vapeur.
Le Petit Train de Remilly est le plus ancien manège forain conservé en France, « l’un des derniers témoins matériels [de l’époque] où l’industrie rencontre la fête pour commencer à concevoir, pour le plus grand nombre, une société des loisirs », écrit Zeev Gourarier en 2000, au moment de son acquisition par le musée national des Arts et Traditions populaires.
Crédit photographique : phot. © RMN – Grand Palais (domaine de Compiègne) / Philippe Fuzeau.
Le chemin de fer.
Fabrique de Pellerin à Épinal.
1838.
H. 42 x L. 62,7 cm.
Lithographie.
Compiègne, musée national de la Voiture et du Tourisme, Palais de Compiègne (inv. CMV.3750).
Œuvre exposée du 7 octobre 2017 au 22 février 2018.
Crédit photographique : phot. © RMN – Grand Palais (domaine de Compiègne) / Philippe Fuzeau.
Crédit photographique : MuCEM.
Le chemin de fer.
Fabrique de Pellerin à Épinal.
1838.
Lithographie.
H. 50 x L. 65,5 cm.
Marseille, MuCEM – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (inv. 1947.22.160).
Œuvre exposée du 23 février au 24 juin 2018.
Crédit photographique : MuCEM.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Carte du chemin de fer de Paris à Saint-Germain avec une notice descriptive des travaux d'art et l'indication des heures de départs des deux stations & du prix des différentes places par A. M. Perrot.
Lithographie Delarue, chez Leroi à Paris.
1837.
Lithographie.
H. 69 x L. 44,3 cm.
Compiègne, musée national de la Voiture et du Tourisme, Palais de Compiègne (inv. CMV.1345).
Œuvre exposée du 7 octobre au 22 février 2018.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Constitution de la République française de 1848, Fabrique d’images Dembour et Gangel, 1848. Marseille, MuCEM (inv. 1977.80.40). Crédit : phot. © RMN – Grand Palais (MuCEM) / Thierry Le Mage.
Constitution de la République française de 1848.
Fabrique d’images Dembour et Gangel, à Metz et à Paris.
1848.
Gravure sur bois.
H. 65,2 x L. 41,9 cm.
Marseille, MuCEM – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (inv. 1977.80.40).
Œuvre exposée du 7 octobre au 22 janvier 2018.
Crédit photographique : phot. © RMN – Grand Palais (MuCEM) / Thierry Le Mage.
Cette rare estampe reproduit le texte de la constitution adoptée le 4 novembre 1848 par l’Assemblée nationale constituante. Le fronton du cadre architectural est occupé par une allégorie de la République française. Une figure féminine hiératique est chastement vêtue à l’unisson des drapeaux tricolores qui cantonnent son trône invisible. Sa tête est coiffée d’une couronne de feuilles de chêne et non du bonnet phrygien de la liberté ; une gloire rayonnante manifeste sa sainteté ; elle tient les anciens attributs monarchiques de la justice dans les mains : l’épée et la main de justice. Cette figure sereine de la République est l’expression d’un ordre établi, restauré après les journées révolutionnaires de février et de juin 1848.
Mais l’allégorie doit aussi proclamer que le nouveau régime ouvre une époque de progrès. Pour cette raison, le graveur fait siéger sa figure parmi un fatras de symboles de l’industrie, de l’agriculture, du commerce, des arts et des sciences. La représentation d’une locomotive à vapeur, surprenante dans le contexte d’une iconographie classique, a vraisemblablement une charge particulière : cette machine de la République n’est-elle pas l’emblème de sa modernité technologique, industrielle ; économique, politique et sociale ?
Constitution de la République française de 1848.
Fabrique d’images de Dembour et Gangel, à Metz et à Paris.
1848.
Gravure sur bois.
H. 64,5 x L. 42,7 cm.
Paris, musée Carnavalet – Histoire de Paris (inv. G.51306).
Œuvre exposée du 23 janvier au 8 avril 2018.
Crédit photographique : MuCEM.
Voyage en chemin de fer.
Fabrique de Pellerin à Epinal.
Début XIXe siècle.
Estampe.
H. 32,7 x L. 41,2 cm.
Marseille, MuCEM – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (inv. 1953.86.5035).
Œuvre exposée du 7 octobre 2017 au 22 février 2018.
Crédit photographique : MuCEM.
Voyage en chemin de fer.
Fabrique de Pellerin à Épinal.
Début XIXe siècle.
Estampe.
H. 32,6 x L. 41,9 cm.
Marseille, MuCEM – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (inv. 1962.69.18).
Œuvre exposée du 23 février au 24 juin 2018.
Crédit photographique : MuCEM.
Jeu du chemin de fer.
Fabrique d’images de Gangel Frères et P. Didion à Metz, d’après une idée d’Ernest Henry, chef du Mouvement au Chemin de fer de Nancy à Sarrebruck.
Vers 1855.
Lithographie.
H. 32,6 x L. 41,9 cm.
Marseille, MuCEM – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (inv. 1952.39.195).
Œuvre exposée du 7 octobre au 21 janvier 2018.
Crédit photographique : MuCEM.
Crédit photographique : phot. © RMN – Grand Palais (MuCEM) / Gérard Blot.
Jeu du chemin de fer.
Fabrique d’images Dehalt, Paulin Didion, à Metz.
1879-1882.
Lithographie.
H. 31,6 x L. 41,7 cm.
Marseille, MuCEM – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (inv. 1938.25.67).
Œuvre exposée du 23 janvier au 8 avril 2018.
Crédit photographique : phot. © RMN – Grand Palais (MuCEM) / Gérard Blot.
Crédit photographique : phot. MuCEM – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée.
Jeu du chemin de fer.
Fabrique d’images de Dehalt à Nancy.
1879-1882.
Lithographie.
H. 29,4 x L. 39,7 cm.
Marseille, MuCEM – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (inv. 1962.70.11).
Œuvre exposée du 9 avril au 24 juin 2018.
Crédit photographique : phot. MuCEM – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée.
Crédit photographique : Académie François Bourdon.
Plaque de constructeur posée sur La Gironde, première locomotive à vapeur construite dans les ateliers Schneider Frères et Cie au Creusot.
Schneider et Cie.
1838.
Inscription gravée : « n°1 / SCHNEIDER FRERES ET CIE / Houillères. Forges. Fonderies / & Ateliers de Construction de Machines / DU CREUSOT : 1838. »
Laiton.
H. 16,5 x L. 23,5 cm
Le Creusot, Académie François Bourdon (inv. 2006.00.319).
Crédit photographique : Académie François Bourdon.
Crédit photographique : Académie François Bourdon.
Maquette d’une locomotive à vapeur de type 030 à six roues couplées, construite par les ateliers Schneider et Cie au Creusot pour la Compagnie du chemin de fer du Nord en 1848 (échelle 1/10).
Schneider et Cie.
Deuxième moitié du XIXe s.
Bois, métal.
H. 55 x L. 83 x P. 25 cm ; 40 kg.
Le Creusot, Académie François Bourdon (inv. 2006.00.129).
Crédit photographique : Académie François Bourdon.
Crédit photographique : © musée des Arts et Métiers – CNAM / phot. Jean-Claude Wetzel (http://www.arts-et-métiers.net/).
Maquette de locomotive à vapeur Stephenson type 111 Long Boiler (échelle 1/5), avec écorchés sur le foyer et sur la chaudière.
Pierre Clair (1804-1870) à Paris.
1846-1851.
Inscription gravée sur une plaque de laiton : « CLAIR / CONSTRUCTEUR / À / PARIS ».
Bois, cuivre, fer, laiton, acier.
H. 85 x L. 140 x P. 49 cm ; 140,5 kg.
Historique : Exposition universelle de Londres en 1851.
Paris, musée des Arts et Métiers – CNAM (inv. 04601-0001-).
Crédit photographique : © musée des Arts et Métiers – CNAM / phot. Jean-Claude Wetzel (http://www.arts-et-métiers.net/).
Crédit photographique : Crédit photographique : phot. © RMN – Grand Palais (domaine de Compiègne) / Michel Urtado.
Maquette d’un train de la Compagnie du chemin de fer d’Orléans et du Midi (échelle 1/10)
Locomotive et tender : apprentis des ateliers de Tours de la Compagnie d’Orléans et du Midi.
Wagon : apprentis des ateliers d’entretien de Périgueux de la Compagnie d’Orléans et du Midi.
1931.
Bois, cuivre, métal.
H. 42 x L. 188 x P. 30 cm.
Historique : don de la Compagnie de chemin de fer d’Orléans et du Midi en 1935.
Compiègne, musée national de la Voiture et du Tourisme, Palais de Compiègne (inv. CMV. 298).
Crédit photographique : Crédit photographique : phot. © RMN – Grand Palais (domaine de Compiègne) / Michel Urtado.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Machines locomotives. Dessin simplifié des machines locomotives à voyageurs du Chemin de fer du Nord construites d’après les plans modifiés de R. Stephenson [par Schneider et Cie en 1847]. Machines à cylindres extérieurs.
Stanislas Petit.
Vers 1873.
Planche n° 26 du recueil de Stanislas Petit, Le Praticien industriel recueil de nouveaux modèles élémentaires de dessin au lavis à couleurs appliqués à la mécanique et à la construction, Paris, Monrocq, vers 1873.
Lithographie.
H. 32,5 x L. 50,5 cm.
Compiègne, musée national de la Voiture et du Tourisme, Palais de Compiègne (inv. CMV. 1462).
Œuvre exposée du 7 octobre 2017 au 21 janvier 2018.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Machines locomotives. Dessin simplifié de la locomotive « Antée » à cylindres extérieurs et à six roues couplées, construite [en 1849] sur les plans de Mr l’Ingénieur E. Flachat. (Chemin de fer de Paris à St Germain.)
Stanislas Petit.
Vers 1873.
Planche n° 41 du recueil de Stanislas Petit, Le Praticien industriel recueil de nouveaux modèles élémentaires de dessin au lavis à couleurs appliqués à la mécanique et à la construction, Paris, Monrocq, vers 1873.
Lithographie.
H. 32,5 x L. 50,5 cm.
Compiègne, musée national de la Voiture et du Tourisme, Palais de Compiègne (inv. CMV. 3700/2).
Œuvre exposée du 23 janvier au 8 avril au 2018.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Machines locomotives. Dessin simplifié des nouvelles locomotives à grande vitesse (du système Crampton.) Construites [en 1848] par Mr. Cail pour le service du chemin de fer du Nord, et d'après les dessins de M. l'ingénieur en chef J. Petiet.
Stanislas Petit.
Vers 1873.
Planche n° 73 du recueil de Stanislas Petit, Le Praticien industriel recueil de nouveaux modèles élémentaires de dessin au lavis à couleurs appliqués à la mécanique et à la construction, Paris, Monrocq, vers 1873.
Lithographie.
H. 32,5 x L. 50,5 cm.
Compiègne, musée national de la Voiture et du Tourisme, Palais de Compiègne (inv. CMV. 3700.4).
Œuvre exposée du 9 avril au 24 juin 2018.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Crédit photographique : Académie François Bourdon.
Locomotive à voyageurs type 16 (1847), construite par Schneider & Cie pour la Compagnie du chemin de fer du Nord.
Extrait de l’album Schneider & Cie. Services des constructions mécaniques et électriques du Creusot. Locomotive.
Vers 1914.
Imprimé.
H. 18,5 x L. 24,5 cm.
Le Creusot, Académie François Bourdon (inv. 0064Z0994-01).
Œuvre exposée du 7 octobre 2017 au 22 février 2018.
Crédit photographique : Académie François Bourdon.
Crédit photographique : Académie François Bourdon.
Locomotive à marchandises type 20 (1852) à 6 roues couplées, construite par Schneider & Cie pour la Compagnie du chemin de fer du Nord.
Extrait de l’album Schneider & Cie. Services des constructions mécaniques et électriques du Creusot. Locomotives.
Vers 1914.
Imprimé.
H. 18,5 x L. 24,5 cm.
Le Creusot, Académie François Bourdon (inv. 0064Z0994-01).
Œuvre exposée du 7 octobre 2017 au 22 février 2018.
Crédit photographique : Académie François Bourdon.
Crédit photographique : Académie François Bourdon.
Locomotive à marchandises type 28 (1855) à 8 roues couplées système Engerth, construite par Schneider & Cie pour la Compagnie du chemin de fer du Nord.
Extrait de l’album Schneider & Cie. Services des constructions mécaniques et électriques du Creusot. Locomotives.
Vers 1914.
Imprimé.
H. 18,5 x L. 24,5 cm.
Le Creusot, Académie François Bourdon (inv. 0064Z0994-01).
Œuvre exposée du 23 février au 24 juin 2018.
Crédit photographique : Académie François Bourdon.
Crédit photographique : Académie François Bourdon.
Locomotive à marchandises type 89 (1879) à 8 roues couplées, construite par Schneider & Cie pour la Compagnie du chemin de fer du Nord.
Extrait de l’album Schneider & Cie. Services des constructions mécaniques et électriques du Creusot. Locomotives.
Vers 1914.
Imprimé.
H. 18,5 x L. 24,5 cm.
Le Creusot, Académie François Bourdon (inv. 0064Z0994-01).
Œuvre exposée du 23 février au 24 juin 2018.
Crédit photographique : Académie François Bourdon.
Crédit photographique : Musée français de la Photographie / conseil départemental de l’Essonne, Benoit Chain.
Train impérial.
Photographe anonyme.
1855.
Manuscrit à l’encre sur la feuille en bas à droite : « Train impérial ».
Plaque de verre au collodion sur papier albuminé.
H. 45,5 x L. 60,5 cm.
Bièvres, Musée français de la Photographie / conseil départemental de l’Essonne (inv. 2004.6.4).
Œuvre exposée du 7 octobre 2017 au 24 janvier 2018.
Crédit photographique : Musée français de la Photographie / conseil départemental de l’Essonne, Benoit Chain.
Crédit photographique : Musée français de la Photographie / conseil départemental de l’Essonne, Benoit Chain.
Locomotive du train impérial.
Photographe anonyme.
1855.
Manuscrit à l’encre sur la feuille en bas à droite : « Train impérial ».
Plaque de verre au collodion sur papier albuminé.
H. 45,5 x L. 60,5 cm.
Bièvres, Musée français de la Photographie / conseil départemental de l’Essonne (inv. 2004.6.6).
Œuvre exposée du 25 janvier au 25 avril 2018.
Crédit photographique : Musée français de la Photographie / conseil départemental de l’Essonne, Benoit Chain.
Chemin de fer du Nord. Carte illustrée de Boulogne à Paris, Charles-Paul Furne et Henri Alexis-Omer Tournier , vers 1860. Bièvres, Musée français de la Photographie (inv. 2004.6.1). Crédit : Musée français de la Photographie / conseil départemental de l’Essonne, Benoit Chain.
Chemin de fer du Nord. Carte illustrée de Boulogne à Paris. (Échelle de 1 / 200 000).
Charles-Paul Furne (1824 – 1880 ?), dit Furne fils, et Henri Alexis-Omer Tournier (1835- après 1865).
Compagnie du chemin de fer du Nord.
Vers 1860.
Gravure, encre, tirages photographiques sur papier albuminé à partir de plaques de verre au collodion.
H. 68 x L. 183 cm.
Bièvres, Musée français de la Photographie / conseil départemental de l’Essonne (inv. 2004.6.1).
Œuvre exposée du 7 octobre 2017 au 22 février 2018.
Crédit photographique : Musée français de la Photographie / conseil départemental de l’Essonne, Benoit Chain.
En août 1855, à l’occasion de l’Exposition universelle de Paris, la reine Victoria se rend en France. Elle fait le voyage en chemin de fer de Boulogne à Paris. Pour commémorer l’événement, et célébrer par la photographie la modernité du réseau ferroviaire français, la Compagnie du chemin de fer du Nord présidée par James de Rothschild confie au grand photographe Édouard Baldus la réalisation d’un album de vues de paysages, de monuments, de gares et d’ouvrages d’art situés le long de la voie du chemin de fer. L’album offert à la souveraine britannique comprend une carte du tracé de la voie de Boulogne à Paris, elle-même illustrée de photographies.
Cinq ans plus tard, James de Rothschild édite un nouvel album consacré à la ligne de Paris à Boulogne, qui intègre le nouveau tronçon de Saint-Denis à Creil via Chantilly, inauguré le 10 mai 1859. L’ouvrage contient une carte ferroviaire encadrée par 24 photographies exécutées en 1859-1860 par Charles-Paul Furne et Henri Tournier.
La remarquable carte-dépliant du Musée français de la Photographie présente une illustration plus riche, faite de 82 vignettes photographiques. Elle a probablement été extraite d’un album semblable à celui de 1860.
Chemin de fer du Nord. Gare de Paris.
Photographe anonyme.
Fait partie d’un ensemble de 225 phototypies édité en 5 volumes par James de Rothschild sous le titre Les Travaux publics de la France (1850-1890).
Après 1864.
Épreuve photomécanique (collotype).
H 38,8 x L 55,3 cm.
Paris, musée d’Orsay, dépôt au Musée français de la Photographie, Bièvres / conseil départemental de l’Essonne (inv. D82.4056.78).
Œuvre exposée du 7 octobre 2017 au 22 février 2018.
Crédit photographique : Ville de Lille – Bibliothèque municipale de Lille
Itinéraire historique du Chemin de fer du nord, de Paris à Lille et Bruxelles, par Amiens, Arras, Valenciennes, Mons. De Creil à Saint-Quentin. D’Amiens à Boulogne et de Lille à Dunkerque et à Calais.
L. Lefort, imprimeur-libraire à Lille.
Lithographie F. Rohaut à Douai (carte).
1849.
Imprimé.
Ville de Lille – Bibliothèque municipale de Lille (Cote 27155).
Œuvre exposée du 7 octobre 2017 au 21 janvier 2018.
Crédit photographique : Ville de Lille – Bibliothèque municipale de Lille.
Crédit photographique : Ville de Lille – Bibliothèque municipale de Lille
Gare de Lille, bâtiment des voyageurs. Situation actuelle avec projection de la grande halle en exécution.
Sydney Dunnett architecte (1837-1895).
Vers 1889.
Imprimé.
Ville de Lille – Bibliothèque municipale de Lille (Cote CA17-01).
Œuvre exposée du 7 octobre 2017 au 21 janvier 2018.
Crédit photographique : Ville de Lille – Bibliothèque municipale de Lille.
Crédit photographique : Ville de Lille – Bibliothèque municipale de Lille
Fives / Lille, Construction d’un wagon à la Compagnie de Fives-Lille.
Photographe anonyme.
1880.
Photographie.
Ville de Lille – Bibliothèque municipale de Lille (Cote PO-96-44).
Œuvre exposée du 23 janvier 2018 au 8 avril 2018.
Crédit photographique : Ville de Lille – Bibliothèque municipale de Lille.
Crédit photographique : Ville de Lille – Bibliothèque municipale de Lille.
Menu du banquet d'inauguration du chemin de fer de Lille à Valenciennes, le 27 juin 1870.
Imprimerie A. Giroux, Paris.
1870.
Imprimé.
Ville de Lille – Bibliothèque municipale de Lille (Cote 44573.1.87).
Œuvre exposée du 23 janvier 2018 au 8 avril 2018.
Crédit photographique : Ville de Lille – Bibliothèque municipale de Lille.
Crédit photographique : Ville de Lille – Bibliothèque municipale de Lille.
Règlement général pour les mécaniciens et chauffeurs. Novembre 1866 [Compagnie du chemin de fer du Nord].
L. Danel à Lille éditeur.
[1866].
Imprimé.
Ville de Lille – Bibliothèque municipale de Lille (Cote 21920).
Œuvre exposée du 7 octobre 2017 au 21 janvier 2018.
Crédit photographique : Ville de Lille – Bibliothèque municipale de Lille.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Règlement pour la surveillance de la voie [Compagnie du chemin de fer du Nord].
L. Danel à Lille éditeur.
1871.
Imprimé.
Ville de Lille – Bibliothèque municipale de Lille (Cote 21924).
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Règlement général pour les conducteurs de trains [Compagnie du chemin de fer du Nord].
L. Danel à Lille éditeur.
1867.
Imprimé.
Ville de Lille – Bibliothèque municipale de Lille (Cote 21922).
Œuvre exposée du 23 janvier 2017 au 8 avril 2018.
Règlement pour les aiguilleurs [Compagnie du chemin de fer du Nord].
L. Danel à Lille éditeur.
1867.
Imprimé.
Ville de Lille – Bibliothèque municipale de Lille (Cote 21921).
Œuvre exposée du 9 avril au 24 juin 2018.
Règlement général pour les contrôleurs de trains [Compagnie du chemin de fer du Nord].
L. Danel à Lille éditeur.
1872.
Imprimé.
Ville de Lille – Bibliothèque municipale de Lille (Cote 21925).
Œuvre exposée du 9 avril au 24 juin 2018.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Plan de la ville de Guise : étude des gares et de la traversée de la ville (échelle de 5 cm pour 100 m).
Anonyme.
Vers 1878.
Imprimé, encre et aquarelle.
H. 72,3 x L. 94,8 cm.
Familistère de Guise (inv. 1999-3-32).
Œuvre exposée du 7 octobre 2017 au 21 janvier 2018.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Crédit photographique : photographie Hugues Fontaine.
Le Travail.
Anatole Guillot (1865-1911) sculpteur, Émile Muller et Cie, céramiste.
Vers 1900.
Grès émaillé.
H. 74 x L. 79 x P. 35 cm ; H. 74 x L. 86 x P. 35 cm ; H. 74 x L. 73 x P. 28 cm.
Collection Danielle et Boris-Claude Toder.
Crédit photographique : photographie Hugues Fontaine.
Crédit photographique : Musée français de la Photographie / conseil départemental de l’Essonne, Benoit Chain.
The Exhibition Opera Stereoscope.
[Coffret de vues stéréoscopiques de l’Exposition universelle de Londres en 1862].
London Stereoscopic and Photographic Company.
1862.
Ronce de noyer, métal, papier albuminé sur carton.
H. 15 x L. 46 x P. 28 cm.
Bièvres, Musée français de la Photographie / conseil départemental de l’Essonne (inv. 2014.33.3 ; inv. 2014.33.4 à 2014.33.282).
Crédit photographique : Musée français de la Photographie / conseil départemental de l’Essonne, Benoit Chain.
Crédit photographique : © Musée Carnavalet / Roger-Viollet.
Exposition universelle, Paris, 1855. Palais de l’industrie. Vue intérieure de la Galerie des machines.
Max Berthelin (1811-1877).
1855.
Signé et daté en bas à droite : « Max Berthelin/1855 ».
Plume, encre, aquarelle et gouache sur papier crème.
H. 24,2 x L. 36,1 cm.
Paris, musée Carnavalet – Histoire de Paris (inv. D 9050).
Œuvre exposée du 7 octobre 2017 au 21 janvier 2018.
Crédit photographique : © Musée Carnavalet / Roger-Viollet.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Exposition universelle, Paris, 1855. Palais de l'Industrie. Vue intérieure de la Galerie des machines.
Adrien Féart d’après Max Berthelin, Henri Plon, éditeur.
1855.
Estampe.
H. 39,8 x L. 32 cm.
Paris, musée Carnavalet – Histoire de Paris (inv. G.52929).
Œuvre exposée du 23 janvier au 25 avril 2018.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Crédit photographique : © Photo RMN (MuCEM) / Gérard Blot.
Vue générale de Paris et de l’Exposition universelle de 1867 prise des hauteurs du Trocadéro.
Fabrique d’images Pinot et Sagaire à Épinal (d’après une gravure parue le 6 avril 1867 dans le journal L’Illustration : Journal universel).
1867.
Lithographie.
H. 39,8 x L. 32 cm.
Marseille, MuCEM – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (inv. 1977.80.26).
Œuvre exposée du 7 octobre 2017 au 22 février 2018.
Crédit photographique : © Photo RMN (MuCEM) / Gérard Blot.
Crédit photographique : MuCEM.
Vue de l’Exposition universelle de Paris, en 1867, avec le parc et constructions diverses.
Fabrique d’images Pinot et Sagaire à Épinal, publié avec l’autorisation du journal L’Illustration (d’après une gravure parue le 6 avril 1867 dans le journal L’Illustration : Journal universel).
1867.
Lithographie.
L. 52,7 x H. 39,4 cm.
Marseille, MuCEM – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (inv. 1953.86.4783).
Œuvre exposée du 23 février 2018 au 24 juin 2018.
Crédit photographique : MuCEM.
Exposition universelle des produits de l’industrie. Paris. 1878.
Fabrique d’images Paulin Didion à Metz.
1878.
Lithographie.
H. 27,3 x L. 40,1 cm.
Marseille, MuCEM – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (inv. 1953.86.4794).
Œuvre exposée du 7 octobre 2017 au 22 février 2018.
Crédit photographique : © MuCEM.
Exposition universelle des produits de l’industrie. Paris. 1878.
Fabrique d’images Paulin Didon à Metz.
1878.
Lithographie.
H. 27,3 x L. 40,5 cm.
Marseille, MuCEM – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (inv. 1950.39.1263).
Œuvre exposée du 23 février au 24 juin2018.
Crédit photographique : © MuCEM.
Crédit photographique : Académie François Bourdon.
Vue du pavillon des usines Schneider du Creusot à l’Exposition universelle de Paris en 1878.
Auguste-Hippolyte Collard (1812-1893).
1878.
Signé sur l’avers en bas à droite à l’encre rouge : « Collard ».
Épreuve sur papier au gélatino-bromure d’argent.
H. 30 x L. 42 cm.
Le Creusot, Académie François Bourdon (inv. 01PHEXPOGF0002).
Œuvre exposée du 7 octobre 2017 au 21 janvier 2018.
Crédit photographique : Académie François Bourdon.
Crédit photographique : Académie François Bourdon.
Vue du pavillon des usines Schneider du Creusot à l’Exposition universelle de Paris en 1878.
Auguste-Hippolyte Collard (1812-1893).
1878.
Signé sur l’avers en bas à droite à l’encre rouge : « Collard ».
Épreuve sur papier au gélatino-bromure d’argent.
H. 30 x L. 42 cm.
Le Creusot, Académie François Bourdon (inv. 01PHEXPOGF0003).
Œuvre exposée du 23 janvier au 8 avril 2018.
Crédit photographique : Académie François Bourdon.
Crédit photographique : Académie François Bourdon.
Vue du pavillon des usines Schneider du Creusot à l’Exposition universelle de Paris en 1878.
Auguste-Hippolyte Collard (1812-1893).
1878.
Épreuve sur papier au gélatino-bromure d’argent.
H. 30 x L. 42 cm.
Le Creusot, Académie François Bourdon (inv. 01PHEXPOGF0001).
Œuvre exposée du 9 avril au 24 juin 2018.
Crédit photographique : Académie François Bourdon.
Crédit photographique : Musée français de la Photographie / conseil départemental de l’Essonne, Benoit Chain.
La Galerie des machines de l’Exposition universelle de Paris en 1889.
Photographe anonyme.
1889.
Légende manuscrite dans le négatif : « 10. Exposition de 1889. Galerie des Machines. J.D. ».
Epreuve sur papier albuminé.
H. 22,4 x L. 29,4 cm
Bièvres, Musée français de la Photographie / conseil départemental de l’Essonne (inv. n° 84.4884.28).
Œuvre exposée du 7 octobre 2017 au 21 février 2018.
Crédit photographique : Musée français de la Photographie / conseil départemental de l’Essonne, Benoit Chain.
Crédit photographique : © musée des Arts et Métiers – CNAM / phot. Michèle Favareille (http://www.arts-et-métiers.net/).
Maquette de presse typographique circulaire à dix cylindres de Richard M. Hoe et Cie.
Constructeur : Colley.
1846-1862.
Inscription gravée sur deux plaquettes métalliques : « THE DAILY TELEGRAPH / PRINTING MACHINE ».
Acier, bois, fer, laiton, textile.
H. 76 x L. 133 x P. 45 cm ; 67 kg.
Paris, musée des Arts et Métiers – CNAM (inv. 07034-0000-).
Crédit photographique : © musée des Arts et Métiers – CNAM / phot. Michèle Favareille (http://www.arts-et-métiers.net/).
Crédit photographique : © musée des Arts et Métiers – CNAM / phot. Pascal Faligot (http://www.arts-et-métiers.net/).
Télégraphe électrique type Morse à pointe sèche.
Louis-Clément Breguet (1804-1883).
1850-1855.
Bois, laiton, carton, papier, verre, alliage ferreux.
H. 37 x L. 48 x 22 cm ; 8 kg.
Paris, musée des Arts et Métiers – CNAM (inv. 06259-0000-).
Crédit photographique : © musée des Arts et Métiers – CNAM / phot. Pascal Faligot (http://www.arts-et-métiers.net/).
Crédit photographique : © musée des Arts et Métiers – CNAM / phot. Michèle Favareille (http://www.arts-et-métiers.net/).
Boite d’échantillons de câbles télégraphiques sous-marins : Paris – New-York.
Compagnie française du télégraphe de Paris à New-York, Siemens Frères à Londres.
1879.
Gravé sur une plaque de laiton fixée sur le dessus de la boîte : « COMPAGNIE FRANÇAISE DU TÉLÉGRAPHE / DE PARIS À NEW YORK / PARIS / SIEMENS FRÈRES, / À LONDRES. »
Bois, verre, cuivre, laiton, fil de fer, gutta-percha.
H. 13,5 x L. 17 x 27 cm ; 4,55 kg.
Paris, musée des Arts et Métiers – CNAM (inv. 16030-0000-).
Crédit photographique : © musée des Arts et Métiers – CNAM / phot. Michèle Favareille (http://www.arts-et-métiers.net/).
Crédit photographique : © musée des Arts et Métiers – CNAM / phot. Sylvain Pelly (http://www.arts-et-métiers.net/).
Machine dynamo-électrique à courant continu système Gramme, type d'atelier.
L. Sautter, Lemonnier et Cie.
1877.
Inscription gravée sur plaquette en laiton vissée sur la face avant : « L. SAUTTER, LEMONNIER ET CIE / 26 Avenue de Suffren / MACHINE GRAMME / Modèle A. N° 160 / 1877 ».
Acier, cuivre, fonte, laiton, fer, bois, résine naturelle (?).
H. 63 x L. 70 x P. 59,5 cm ; 227 kg.
Paris, musée des Arts et Métiers – CNAM (inv. 09127-0000-).
Crédit photographique : © musée des Arts et Métiers – CNAM / phot. Sylvain Pelly (http://www.arts-et-métiers.net/).
Crédit photographique : © M. Thierry, ministère de la Culture et de la Communication – DRAC de Bourgogne – SRI, 2000 © Service patrimoine et inventaire, Région Bourgogne-Franche-Comté.
Maquette de démonstration de la dynamo électrique de Zénobe Gramme.
Ateliers Bréguet à Paris.
1880-1890.
Inscription gravée sur la partie du mécanisme située sous l'arc de l'aimant : « Mon BREGUET / n° 1127 ».
Bois, laiton, acier.
H. 62 x L. 33 x P. 55 cm.
Classé aux monuments historiques le 24 août 2004.
Dijon, lycée Carnot.
Crédit photographique : © M. Thierry, ministère de la Culture et de la Communication – DRAC de Bourgogne – SRI, 2000 © Service patrimoine et inventaire, Région Bourgogne-Franche-Comté.
Crédit photographique : © musée des Arts et Métiers – CNAM / phot. Pascal Faligot (http://www.arts-et-métiers.net/).
Moteur électrique système Trouvé.
Gustave Trouvé (1839-1902).
1881.
Fonte, alliage ferreux, laiton, cuivre, carton, ivoire, résine.
H. 22 x L. 20 x P. 24,50 cm ; 11 kg.
Paris, musée des Arts et Métiers – CNAM (inv. inv. 09711-0000-).
Crédit photographique : © musée des Arts et Métiers – CNAM / phot. Pascal Faligot (http://www.arts-et-métiers.net/).
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Tricycle anglais.
Constructeur anonyme.
XIXe s.
Fonte de fer.
H.124 x L.182 x P. 74 cm.
Saint-Quentin, Village des métiers d’antan.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Crédit photographique : © F. Lauginie, Le COMPA – Conservatoire de l'agriculture.
Maquette de locomobile à vapeur.
Constructeur anonyme.
1880-1902.
Métal, bois.
H. 147 x L.86 x P. 22 cm ; 120 kg.
Chartres, Le COMPA – Conservatoire de l'agriculture (inv. 95.09.01).
Crédit photographique : © F. Lauginie, Le COMPA – Conservatoire de l'agriculture.
Locomotive de routes construite à Liancourt par MM. Albaret et Cie (échelle de 1/10).
Dessiné par Gauchot.
1867 (dessin exécuté à l’Exposition universelle de Paris en 1867).
Papier vélin.
H. 60,4 x H. 84,3 cm.
Paris, musée des Arts et Métiers – CNAM (inv. 13571.1742/2).
Œuvre exposée du 23 février au 24 juin 2018.
Locomotive de routes construite à Liancourt par MM. Albaret et Cie (échelle de 1/10).
Dessiné par Gauchot.
1867 (dessin exécuté à l’Exposition universelle de Paris en 1867).
Papier vélin.
H. 60,4 x H. 84,3 cm.
Paris, musée des Arts et Métiers – CNAM (inv. 13571.1742/2).
Œuvre exposée du 23 février au 24 juin 2018.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Le Familistère ou Palais social et sa manufacture.
Dessiné par Gaildrau, imprimé par Lemercier à Paris.
Planche hors texte de Jean-Baptiste André Godin, Solutions sociales, Paris, A. Le Chevalier et Guillaumin & Cie éditeurs, 1871.
1871.
Lithographie.
Familistère de Guise.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Piocheuse à vapeur de MM. Barrat Frères.
Louis Figuier, Les Merveilles de la science ou description populaire des inventions modernes, Paris, Librairie Furne, Jouvet et Cie, 1867, t. I, p. 420.
1867.
Gravure ; imprimé.
Familistère de Guise, bibliothèque.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Scène de moisson avec locomobiles à vapeur Albaret
Scène de moisson avec locomobiles à vapeur Albaret.
Les Merveilles de l’Exposition de 1878 […], ouvrage rédigé par des écrivains spéciaux et des ingénieurs, Paris, Librairie illustrée et Librairie R. Dreyfous, 1878, p. 640-641.
1878.
Imprimé.
Collection privée.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Un des premiers appareils fabriqués par la manufacture Godin-Lemaire à Esquéhéries.
Photographe anonyme.
Deuxième moitié du XIXe s.
Aristotype monté sur carton.
Familistère de Guise (inv. 1976-1-12).
Œuvre exposée du 7 octobre 2017 au 22 février 2018.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Crédit photographique : Institut national de la propriété industrielle.
Brevet d'invention et de perfectionnement de 10 ans pour un poêle au charbon en fonte de fer.
Jean-Baptiste André Godin.
15 juillet 1840.
Manuscrit.
Courbevoie, Institut national de la propriété industrielle (1BA8949).
Œuvre exposée du 7 octobre 2017 au 22 février 2018.
Crédit photographique : Institut national de la propriété industrielle.
Crédit photographique : Institut national de la propriété industrielle.
Brevet d'invention de 10 ans pour divers perfectionnements aux modèles des poêles délivrés à Jean-Baptiste André Godin, manufacturier à Guise.
Jean-Baptiste André Godin.
15 juillet 1846.
Manuscrit.
Courbevoie, Institut national de la propriété industrielle (1BB3868).
Œuvre exposée du 22 février au 24 juin 2018.
Crédit photographique : Institut national de la propriété industrielle.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Cuisinière n° 36.
Fonderies et Manufactures Godin-Lemaire à Esquéhéries.
Entre 1840 et 1846.
Fonte de fer, laiton.
H. 68,5 x L. 91,5 x P. 54 cm.
Familistère de Guise (inv. 2000-2-1).
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Torréfacteur n° 2 à café, cacao ou chicorée.
Société du Familistère de Guise Godin & Cie.
Après 1880 (modèle de 1867).
Fonte de fer, bois.
H. 79 x L. 90 x P. 66 cm ; 25 kg.
Familistère de Guise (don Patrick Nicolas, inv. 2016-2-1).
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Crédit photographique : Institut national de la propriété industrielle.
Brevet d'invention d’un système de construction de torréfacteur à café et autres matières torréfiables en fonte de fer.
Jean-Baptiste André Godin.
16 février 1866.
Manuscrit.
Courbevoie, Institut national de la propriété industrielle (70427).
Œuvre exposée du 7 octobre 2017 au 22 février 2018.
Crédit photographique : Institut national de la propriété industrielle.
Crédit photographique : Institut national de la propriété industrielle.
Addition au nouveau système de construction de torréfacteur du brevet pris le 16 février 1866, no 70.424.
Jean-Baptiste André Godin.
4 juillet 1866.
Encre et lavis.
Courbevoie, Institut national de la propriété industrielle (1BB 070427).
Œuvre exposée du 23 février au 24 juin 2018.
Crédit photographique : Institut national de la propriété industrielle.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Étude d’une installation de moulage mécanique.
Jean-Baptiste André Godin.
Vers 1871.
Crayon.
H. 25 x L. 30 cm.
Familistère de Guise (archives).
Œuvre exposée du 7 octobre 2017 au 21 janvier 2018.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Crédit photographique : Institut national de la propriété industrielle.
Machines et outils. Agencements, série et ordre d'opérations à appliquer dans les usines et ateliers servant à la production des fontes moulées d'un usage commun, par Jean-Baptiste André Godin, manufacturier à Guise (Aisne). Planche 1. Échelle de 50 mm par mètre.
Planche 1 du mémoire descriptif du brevet délivré à Jean-Baptiste André Godin le 16 août 1873 : vues de l’installation de la presse mécanique et de la presse hydraulique.
1873.
Encre et lavis.
Courbevoie, Institut national de la propriété industrielle (1BB100182).
Œuvre exposée du 23 janvier 2017 au 8 avril 2018.
Crédit photographique : Institut national de la propriété industrielle.
Crédit photographique : Institut national de la propriété industrielle.
Machines et outils. Agencements, série et ordre d'opérations à appliquer dans les usines et ateliers servant à la production des fontes moulées d'un usage commun, par Jean-Baptiste André Godin, manufacturier à Guise (Aisne). Planche 3. Échelle de 50 mm par mètre.
Planche 3 du mémoire descriptif du brevet délivré à Jean-Baptiste André Godin le 16 août 1873 : vues de l’installation de la presse et de la machine de levage des châssis de moulage.
1873.
Encre et lavis.
Courbevoie, Institut national de la propriété industrielle (1BB100182).
Œuvre exposée du 9 avril au 24 juin 2018.
Crédit photographique : Institut national de la propriété industrielle.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Machines d'alimentation du moulage mécanique de l'usine Godin de Guise.
De Jongh Frères.
1899.
Aristotype.
H. 15 x L. 23 cm.
Familistère de Guise (inv. 1976-1-511).
Œuvre exposée du 7 octobre 2017 au 21 janvier 2018.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Une coulée de fonte dans l’atelier de moulage mécanique de l’usine du Familistère de Guise.
Photographe anonyme.
1899.
Épreuve photographique au gélatinobromure d’argent.
H. 15,8 x L. 22,3 cm.
Familistère de Guise (inv. 1976-1-456).
Œuvre exposée du 7 octobre 2017 au 21 janvier 2018.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Le « déballage » du sable des moules de fonderie sur l'une des batteries de l'atelier de moulage mécanique de l’usine du Familistère de Guise.
Photographe anonyme.
1899.
Épreuve photographique au gélatinobromure d’argent.
H. 15,7 x L. 22,8 cm.
Familistère de Guise (inv. 1976-1-445-2).
Œuvre exposée du 7 octobre 2017 au 21 janvier 2018.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Crédit photographique : Bibliothèque centrale du Conservatoire national des arts et métiers.
Lettre de Jean-Baptiste André Godin à Charles Brunier, du 22 août 1853. Description et croquis de « L’Évocateur ».
Jean-Baptiste André Godin.
22 août 1853.
Manuscrit.
H. 35, 6 x L. 24, 3 cm.
Paris, Bibliothèque centrale du Conservatoire national des arts et métiers (Fonds Godin, FG15 (1) pages 79-80).
Œuvre exposée du 7 octobre 2017 au 24 décembre 2017.
Crédit photographique : Bibliothèque centrale du Conservatoire national des arts et métiers.
Récepteur télégraphique à cadran avec relais de sonnerie système Bréguet.
Louis Clément Breguet (1804-1883).
1849.
Bois, émail, métal.
H. 22 x L. 24 x P. 21 cm ; 4,3 kg.
Historique : Exposition universelle de Paris en 1855.
Paris, musée des Arts et Métiers – CNAM (inv. 14649-0000-).
Crédit photographique : © musée des Arts et Métiers-CNAM / Jean Claude Wetzel (http://www.arts-et-métiers.net/).
Télégraphe électrique à cadran et clavier système Froment.
Paul Gustave Froment (1815-1865).
Vers 1850.
Bois, alliage ferreux, laiton, verre, émail, ivoire.
H. 45 cm x L. 37 x P. 37,50 cm ; 16,46 kg.
Paris, musée des Arts et Métiers – CNAM (inv. 14649-0000-).
Œuvre exposée du 9 janvier au 24 juin 2018.
Crédit photographique : © musée des Arts et Métiers-CNAM / Jean Claude Wetzel (http://www.arts-et-métiers.net/).
Phonographe de Thomas Alva Edison à mouvement d'horlogerie.
Edme Hardy constructeur à Paris.
1878-1881.
Bois, plomb, laiton, alliage ferreux, carton.
Env. H. 180 x L. 60 x P. 50 cm ; 43 kg.
Paris, musée des Arts et Métiers – CNAM (inv. 09634-0000-).
Crédit photographique : MuCEM.
Moulin à café.
France, début du XXe siècle.
Fonte de fer.
H. 37 x L. 17 x P. 22 cm.
Marseille, MuCEM – musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (inv. 1975.75.68).
Crédit photographique : MuCEM.
Batteur mécanique.
Landers, Frapy and Clark (États-Unis).
XIXe / XXe siècle.
Aluminium, métal.
H. 37 x L. 17 x P. 22 cm.
Saint-Quentin, Village des métiers d’antan.
Crédit photographique : MuCEM.
Robot ménager Legumex.
Moulin-Légumes (France).
Vers 1955.
Métal, caoutchouc, matière plastique.
H. 30 x L. 24 x P. 40 cm ; 2, 271 kg.
Marseille, MuCEM – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (inv. 2000-51-50 1-2).
Crédit photographique : MuCEM.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Robot Marie.
Moulinex (France).
1961.
Carton, plastique, métal.
Familistère de Guise (inv. 2005-26-1.1).
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Crédit photographique : MuCEM.
Robot ménager.
Peugeot Frères (France).
Deuxième moitié du XXe s.
Matière plastique, métal, papier, autocollant, carton.
H. 36,8 x L. 21,3 x P. 30,7 cm ; pds : 5,705 kg.
Marseille, MuCEM – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (inv. 2000.51.71.1).
Crédit photographique : MuCEM.
Robot électrique.
Rapid Soup (France).
XXe s.
Aluminium.
H. 21 x L. 42 x P. 10 cm.
Saint-Quentin, Village des métiers d’antan.
Robot KA 70.
Rowenta (Allemagne).
Modèle de 1979.
Plastique.
Collection privée.
Robot multifonction Moulinex I-Companion HF900110.
Moulinex (France).
Modèle de 2017.
Plastique et métal.
H. 35 x L. 32 x P. 31 cm ; 2,271 kg.
Familistère de Guise.
Crédit photographique : © musée des Arts et Métiers – CNAM / Michèle Favareille (http://www.arts-et-métiers.net/).
Autocuiseur dit Cocotte Henri IV.
Fabricant anonyme.
Vers 1947.
Aluminium, bois, alliage ferreux, laiton, verre, émail, plastique.
H. 28 x L. 39 x D. 27 cm ; 7 kg.
Paris, musée des Arts et Métiers – CNAM (inv. n° 18807-0000-).
Crédit photographique : © musée des Arts et Métiers – CNAM / Michèle Favareille (http://www.arts-et-métiers.net/).
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Cuiseur à pression.
Société L’Auto-Thermos (France)
Aluminium, bois, bakélite.
H. 38 x L. 34 x P. 34 cm.
Vers 1950.
Familistère de Guise (inv. 2005-23-1).
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Marmite Lilor n°3.
Liotard Frères (France).
Première moitié du XXe s.
Tôle émaillée, porcelaine.
Saint-Quentin, Village des métiers d’antan.
Digesteur Denis Papin.
SEB (France).
Vers 1950.
Aluminium, bakélite.
Marseille, MuCEM – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Cocotte-minute.
SEB (France).
Après 1953.
Aluminium.
Familistère de Guise.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Crédit photographique : © musée des Arts et Métiers – CNAM / Michèle Favareille (http://www.arts-et-métiers.net/).
Aspirateur de poussières à pompe.
Birum (France).
1906.
Bois, laiton, fer, aluminium.
H. 15 x L. 111 x P. 17,50 cm ; 2,25 kg.
Paris, musée des Arts et Métiers – CNAM (inv. n° 22029-0001-).
Crédit photographique : © musée des Arts et Métiers – CNAM / Michèle Favareille (http://www.arts-et-métiers.net/).
Crédit photographique : MuCEM.
Aspirateur traineau et sa caisse.
Electro Lux (Suède).
Vers 1946.
Carton, textile, moleskine, acier, fer, bois, matière plastique.
H. 27 x L. 57 x P. 25 cm (caisse) ; 8,895 kg.
Marseille, MuCEM – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (inv. 2000-51-45 1-9).
Crédit photographique : MuCEM.
Aspirateur balai « TORNADO ».
Tornado SOCADEM (France).
1950.
Aluminium.
H. 18 x L. 135 x P. 21,5 cm ; 5,5 kg.
Paris, musée des Arts et Métiers – CNAM (inv. n°43733-0000-).
Aspirateur Spoutnik.
Hoover (États-Unis).
Modèle de 1959.
Plastique.
Musée EDF Électropolis à Mulhouse.
Crédit photographique : MuCEM.
Aspirateur balai.
Hoover (États-Unis).
Deuxième moitié du XXe s.
Fer, caoutchouc, matière plastique, papier, poils.
H. 27 x L. 99,7 x P. 33,6 cm ; 5,6 kg.
Marseille, MuCEM – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (inv. 2000-48-49).
Crédit photographique : © musée des Arts et Métiers – CNAM / Pascal Faligot (http://www.arts-et-métiers.net/).
Aspirateur de poussières type balai.
Moulinex (France).
1967.
Aluminium, cuivre, plastique, textile.
H. 20 x L. 79 x P. 13 cm ; 3 kg.
Paris, musée des Arts et Métiers – CNAM (inv. n° 22040-0000-).
Crédit photographique : © musée des Arts et Métiers – CNAM / Pascal Faligot (http://www.arts-et-métiers.net/).
Crédit photographique : DR.
Aspirateur Dyson Ball DC 33C.
Dyson (Royaume-Uni).
Modèle de 2017.
Plastique.
Familistère de Guise.
Crédit photographique : DR.
Crédit photographique : DR.
Aspirateur robot Dyson 360 Eye Expert.
Dyson (Royaume-Uni).
Modèle de 2017.
Plastique.
Familistère de Guise.
Crédit photographique : DR.
Crédit photographique : MuCEM.
Affiche publicitaire « Machines à coudre et à plisser H. Vigneron ».
Lithographie Dietrich à Paris.
1880.
Lithographie.
Marseille, MuCEM – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (inv. 1971-29-37).
Œuvre exposée du 7 octobre 2017 au 22 février 2018.
Crédit photographique : MuCEM.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Affiche publicitaire. « La Compagnie Singer – Machines à coudre ».
Imprimerie J. E. Goossens à Lille et à Paris.
1900.
Lithographie.
H. 120 x L. 85 cm.
Familistère de Guise (inv. 2006-10-3).
Œuvre exposée du 23 février au 24 juin 2018.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Machine à coudre Singer 28K.
The Singer Manufacturing Company (États-Unis).
Fabrication usine Singer de Clidebank (Écosse).
1901.
Bois, fonte, émail.
0H. 75 x L. 92 x P. 45 cm.
Familistère de Guise (inv. 2007-14-5).
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Crédit photographique : MuCEM.
Machine à coudre.
Vigneron (France).
Deuxième moitié du XXe s.
Bois, métal, matière plastique, textile, moleskine, carton.
H. 36.5 x L. 52.4 x P. 24,5 cm ; 19.8 kg.
Marseille, MuCEM – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (inv. 1992-19-2-1-7).
Crédit photographique : MuCEM.
Machine à coudre Singer 367.
The Singer Manufacturing Company (États-Unis).
Modèle de 1974.
Plastique, métal.
Saint-Quentin, Village des métiers d’antan.
Machine à coudre jouet Singer Locksmith.
The Singer Manufacturing Company (États-Unis).
Deuxième moitié du XXe s.
Plastique, métal.
Saint-Quentin, Village des métiers d’antan.
Crédit photographique : MuCEM.
Machine à laver.
Flora (France).
Vers 1910.
Bois, métal.
H. 113 x L. 84,8 x P. 78 cm ; 46 kg.
Marseille, MuCEM – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (inv. 1983-34-1-1-3).
Crédit photographique : MuCEM.
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Machine à laver.
Gyor (France).
Première moitié du XXe siècle
Métal.
H. 50 x L. 50 x P. 60 cm.
Familistère de Guise (inv. 2000-2-136).
Crédit photographique : Familistère de Guise.
Machine à laver.
Établissements Dion et Lavoine (EDAL) à Calais.
Fin XIXe – début XXe siècle.
Cuivre, fonte.
H. 112 x L. 115 x P. 80 cm.
Saint-Quentin, Village des métiers d’antan.
Crédit photographique : collection historique d’Orange.
Téléphone Bell, dit « bilboquet ».
Alexander Graham Bell (1847-1922), inventeur.
Fabricant anonyme.
Vers 1877.
Bois.
Soisy-sous-Montmorency, collection historique d’Orange (inv. CHT00603, CHT002934).
Crédit photographique : collection historique d’Orange.
Crédit photographique : collection historique d’Orange / Bruno Feuillet.
Téléphone Ader.
Clément Ader (1841-1925), inventeur.
Société générale des téléphones.
1880.
Gravé sur une plaque métallique : « Sté Gle des Téléphones / ATELIER CENTRAL ».
Bois laqué noir, métal chromé laqué noir.
H. 45 x L. 20,4 x P. 23 cm.
Soisy-sous-Montmorency, collection historique d’Orange (inv. CHT05985).
Crédit photographique : collection historique d’Orange / Bruno Feuillet.
Crédit photographique : collection historique d’Orange / Bruno Feuillet.
Téléphone Berthon Ader.
Louis Berthon et Clément Ader (1841-1925) inventeurs.
Société industrielle des téléphones.
1897.
Métal, ébonite.
H. 27 x L. 24,3 x P. 15,6 cm.
Soisy-sous-Montmorency, collection historique d’Orange (inv. CHT00012).
Crédit photographique : collection historique d’Orange / Bruno Feuillet.
Crédit photographique : collection historique d’Orange / Bruno Feuillet.
Téléphone Marty 1910.
AOIP (Association des ouvriers en instruments de précision).
1917.
Bois, métal, ébonite.
Soisy-sous-Montmorency, collection historique d’Orange (inv. CHT06015).
H. 23,5 x L. 26 x P. 19,3 cm.
Crédit photographique : collection historique d’Orange / Bruno Feuillet.
Crédit photographique : collection historique d’Orange / Bruno Feuillet.
Téléphone à cadran PTT 24.
Fabricant anonyme.
1946.
Métal.
Soisy-sous-Montmorency, collection historique d’Orange (inv. CHT10600).
H. 22,4 x L. 21,5 x P. 18,3 cm.
Crédit photographique : collection historique d’Orange / Bruno Feuillet.
Crédit photographique : collection historique d’Orange / Bruno Feuillet.
Téléphone à cadran U43.
Ericsson à Colombes (Hauts-de-Seine).
1960.
Bakélite, plastique.
H. 15,5 x L. 23,4 x P. 22,9 cm.
Soisy-sous-Montmorency, collection historique d’Orange (inv. CHT00565).
Crédit photographique : collection historique d’Orange / Bruno Feuillet.
Crédit photographique : collection historique d’Orange / Bruno Feuillet.
Téléphone à magnéto U43.
Ericsson à Colombes (Hauts-de-Seine).
1958.
Bakélite.
H. 15 x L. 23,4 x P. 22,9 cm.
Soisy-sous-Montmorency, collection historique d’Orange (inv. CHT04394).
Crédit photographique : collection historique d’Orange / Bruno Feuillet.
Crédit photographique : collection historique d’Orange / Bruno Feuillet.
Téléphone S63.
Socotel (Société des Constructeurs de Téléphone).
1974.
Plastique.
Soisy-sous-Montmorency, collection historique d’Orange (inv. CHT02035).
Crédit photographique : collection historique d’Orange / Bruno Feuillet.
Crédit photographique : collection historique d’Orange / Bruno Feuillet.
Téléphone à clavier Digitel 2000.
CGCT (Compagnie Générale des Constructions Téléphoniques).
1979.
Plastique.
Soisy-sous-Montmorency, collection historique d’Orange (inv. CHT04392).
Crédit photographique : collection historique d’Orange / Bruno Feuillet.
Crédit photographique : collection historique d’Orange / Bruno Feuillet.
Visiophone.
Matra datavision – CNET.
1972.
Plastique.
Soisy-sous-Montmorency, collection historique d’Orange (inv. CHT04151).
Crédit photographique : collection historique d’Orange / Bruno Feuillet.
Notice créée le 18/01/2018.